- Procès-verbaux des réunions du Tiers-Ordre féminin de l'Assomption
- Registre 1854-1857
30. Séance du 24 août 1855 - CE 18, p.68-69.
- 1 AMOUR DE L'EGLISE A L'ASSOMPTION
1 AMOUR DE LA SAINTE VIERGE A L'ASSOMPTION
1 AMOUR DU CHRIST A L'ASSOMPTION
1 CORPS MYSTIQUE
1 EUCHARISTIE
1 EXTENSION DU REGNE DE JESUS-CHRIST
1 FILS DE L'EGLISE
1 OUBLI DE SOI
1 PEUPLE DE DIEU
1 SACRIFICE DE JESUS CHRIST
1 TIERS-ORDRE FEMININ
1 TRIPLE AMOUR
1 UNION A JESUS-CHRIST
2 ALLEMAND, MADAME
2 BOLZE, MADAME SIMEON
2 BOLZE, MARIE-GERTRUDE
2 COIRARD, MIRRA
2 COMBIE, JULIETTE
2 COMBIE, MARIE-CATHERINE
2 CONTE, MADEMOISELLE
2 FABRE, JOSEPHINE
2 GERMER-DURAND, MADAME EUGENE
2 REGIS, EULALIE DE
2 SAGE, ATHANASE
2 SAUVAGE, MADAME EUGENE-LOUIS
3 NIMES - Tertiaires de l'Assomption
- Tertiaires Dames
- 24 août 1855
- 24 aug 1855
- Nîmes
Réunion du 24 août 1855.
Soeurs présentes à la réunion sous la présidence du Père d’Alzon supérieur:
Mlle de Régis, Mlle Coirard, Mme Bolze, Mlle Conte, Mme Durand, Mlle Fabre, Mme Sauvage, Mme Allemand, Mlle Bolze, Mlle Juliette Combié, Mlle L. Combié, professes.
Le Père supérieur rappelle aux soeurs du T.O. l’idée fondamentale de l’oeuvre à laquelle elles se sont vouées. Cette idée qui doit animer le T.O. aussi bien que l’Ordre de l’Assomption, c’est l’amour de Jésus-Christ et le dévouement à l’extension de son règne.
– Si nous aimons beaucoup N.S., nous aimerons ce qu’il aime et nos sentiments deviendront de plus en plus semblables aux siens. Nous aimerons donc beaucoup sa mère et nous serons heureux de nous regarder comme les enfants de sa gloire. Nous aimerons beaucoup son Eglise qui est son Epouse née sur la croix de son côté ouvert. Nous aimerons beaucoup ses enfants qui sont nos frères, appelés ainsi que nous à devenir comme enfants de la Ste Eglise membres du corps mystique de J.C. lui-même.
On ne se rend pas assez compte de ses devoirs comme enfant de l’Eglise.
Si nous savions immoler un peu plus nos idées personnelles, nous gagnerions bientôt à J.C. des membres vivants et nous remplirions notre mission sur la terre.
C’est dans notre union avec le Corps glorieux et toujours immolé du Sauveur dans le sacrement de son amour que nous trouverons la force de mourir assez à nous-mêmes pour travailler à sa gloire et au développement de son corps mystique(1).