- Procès-verbaux des réunions du Tiers-Ordre féminin de l'Assomption
- Registre 1854-1857
26 et 27. Séances des 6 et 13 juillet 1855 - CE 18, p.62-65.
- 1 BON EXEMPLE
1 EFFORT
1 ESPERANCE
1 EXERCICES RELIGIEUX
1 FIDELITE A L'ESPRIT DE LA REGLE
1 HUMILITE
1 MISERICORDE DE DIEU
1 ORGUEIL
1 OUBLI DE SOI
1 PERSEVERANCE
1 PROGRES DANS LA VIE SPIRITUELLE
1 RECHERCHE DE DIEU
1 SATAN
1 TIERS-ORDRE FEMININ
1 VACANCES
1 ZELE APOSTOLIQUE
2 ALLEMAND, MADAME
2 AMALRIC, MARIE
2 BEUF, BLANCHE
2 BOLZE, MADAME SIMEON
2 BOLZE, MARIE-GERTRUDE
2 BOYER, MADAME EDOUARD
2 CABRIERES, ANATOLE DE
2 COIRARD, MIRRA
2 COMBIE, JULIETTE
2 COMBIE, MARIE-CATHERINE
2 CONTE, MADEMOISELLE
2 FABRE, JOSEPHINE
2 GERMER-DURAND, MADAME EUGENE
2 NARBONNE-LARA, MADAME DE
2 REGIS, EULALIE DE
2 ROUSSELIER, MADEMOISELLE H.
2 SAUVAGE, EUGENE-LOUIS
3 NIMES - Tertiaires de l'Assomption
- Tertiaires Dames
- 6 et 13 juillet 1855
- jul 1855
- Nîmes
[26] Réunion du 6 juillet 1855.
Soeurs présentes à la réunion sous la présidence du Père d’Alzon supérieur:
Mme de Narbonne, Mlle de Régis, Mlle Coirard, Mme Bolze, Mlle Conte, Mme Durand, Mme Sauvage, Mlle L. Combié, Mlle J. Combié, Mme Boyer, Mlle Fabre, Mlle Rousselier, Mme Allemand, Mlle Bolze, professes. – Mlle Beuf, Mlle Amalric, novices.
Instruction du Père d’Alzon sur le travail paisible et persévérant que l’âme doit toujours faire pour avancer dans la vie spirituelle.
On croit trop facilement en général que l’on a atteint le but, et que l’on a plus qu’à se reposer et à jouir du fruit de ses travaux. – Tant que nous serons dans ce monde, il y aura des efforts à faire. Si nous nous endormons, le démon qui ne dort pas, sèmera beaucoup d’ivraie dans notre champ, et quand viendra le jour de la moisson nous serons peut-être tout surpris de trouver si peu de bon grain à recueillir. – Il faut veiller et travailler sans relâche; sans agitation cependant, et dans la paix de l’humilité. – C’est l’orgueil qui cherche à nous faire croire que nous n’avons plus rine à faire. – C’est l’orgueil aussi qui nous décourage et qui nous persuade que nous avons trop à faire pour en venir jamais à bout. – Celui qui connaît bien sa faiblesse, connaît aussi la force et la bonté de Dieu. Il sait que son propre travail n’est rien, mais il sait qu’un acte de bonne volonté attire le secours de Celui qui peut tout, et il travaille paisiblement dans une amoureuse confiance.
[27] Réunion du 13 juillet 1855.
Sont présentes à la réunion:
Mlle de Régis, Mlle Coirard, Mme Bolze, Mlle Conte, Mme Durand, Mme Sauvage, Mlle L. Combié, Mlle J. Combié, Mlle Fabre, Mme Allemand, professes.
Instruction de Mr l’abbé de Cabrières sur le zèle du salut des âmes que l’on doit porter partout. Il engage les soeurs du T.O. à ne pas se relâcher de leur règle pendant les vacances que quelques-unes vont prendre à la campagne, à continuer leurs exercices avec exactitude et à profiter de toutes les occasions qui pourront se présenter pour travailler à la gloire de Dieu en donnant de bons exemples et en disant quelques bonnes paroles.
Développement du chapitre 37 du 3e Livre de l’Imitation: il faut se quitter soi-même, sortir de soi-même pour trouver Dieu et pour obtenir qu’il veuille bien nous employer à quelque chose.