- Procès-verbaux du Tiers-Ordre des Hommes
- Dossier des procès-verbaux 1852-1853
17. Réunion du 6 novembre 1852 - DI 152.
- 1 ASCESE
1 COLLEGE DE NIMES
1 CONNAISSANCE DE SOI
1 DEGOUTS
1 ENNUI SPIRITUEL
1 FRANCHEMENT CATHOLIQUES
1 RESISTANCE A LA GRACE
1 SOUFFRANCE ACCEPTEE
1 SUFFISANCE
1 TIERS-ORDRE DE L'ASSOMPTION
1 TIERS-ORDRE MASCULIN
1 VIE DE PRIERE
3 NIMES - Tertiaires de l'Assomption
- Tertiaires Hommes
- 6 novembre 1852
- 6 nov 1852
- Nîmes
- Collège de l'Assomption
[Séance du] 6 nov[embre 18]52
Présidence de M. d’Alzon.
Se regarder – Se prendre en dégoût – Nous sommes malades et nous ne voulons pas nous en douter – De là dégoût pour la prière.
Se prendre hommes – Principes plus énergiques de foi – Faire ses méditations – Prendre les moyens que nous donne N.S.J.C.
Qui ne veille pas et ne prie pas, il tombe – Curatif et préservatif – Prière mentale – Réflexion sérieuse sur soi.
Nous comptons beaucoup trop sur nous-mêmes – Nous avons trop le sentiment de notre impeccabilité – Châtiment: dégoût, ennui de la prière – On se plaît avec les hommes, avec soi – On ne peut entrer en relation avec Dieu [un mot illisible].
Eprouver le dégoût oui, ne pas s’y laisser aller – Pas l’esprit du monde – Un autre enthousiasme.
Ne pas être demi-chrétien – Usquequam claudicatis… – Entrer franchement dans la vie chrétienne – Humilité, prière.
Plus d’intelligence, aussi plus coupable – Sanctifier par l’esprit divin – Prier, instruments faussés – Opposition à l’action divine – Fortifier l’action de Dieu de notre volonté, et notre volonté de son action.
Ecce ego, mitte me – Nous ferions le bien mieux, si puisions notre force en Dieu
Mettre dans le règlement 1/4 au moins – Si on fait la 1/2 comment ? – C’est à Dieu à me manipuler – On s’occupe de toute autre chose – Il faut souffrir, les peines, les luttes – Mon Dieu que voulez-vous de moi ?
Que donner à Dieu ? – Circoncis – Crucifié – Ressuscité – Si je connaissais [ ? ] de mon coeur qui ne [ ? ] , je l’arracherais aussitôt – Commencer – Acquérir plus – Aller où J.C. veut – Perditio tua ex te: l’enlever – Peut être plus fort – Fournir à Dieu l’occasion de verser des grâces dans nos âmes.