- Aux Assomptionistes
- Retraite prêchée à Nîmes par le P. d'Alzon pour l'installation du noviciat du 21 au 29 septembre 1879
Premier jour
III. Conférence. La confession. - CD 27, pp. 8-10 (notes du Fr. Matthieu Lombard).
- 1 CONFESSION DU RELIGIEUX
1 CONTRITION
1 EXAMEN DE CONSCIENCE
1 FERME PROPOS
1 FRANCHISE
1 MORTIFICATION
1 PENITENCE IMPOSEE
1 SIMPLICITE
2 ALPHONSE DE LIGUORI, SAINT - Assomptionistes
- AA
- du 21 au 29 septembre 1879
- SEP 1879
- Nîmes
- Maison de l'Assomption
1° Examen – A. L’examen doit porter surtout pour moi sur les fautes dans lesquelles je me laisse plus habituellement aller. C’est là la doctrine de Ligori au sujet des personnes qui se confessent souvent. – B. Si des obscurités se rencontrent dans l’examen, consulter le directeur ou confesseur en lui signalant les points que nous connaissons. De cette façon le confesseur ou directeur, comme un médecin habile, pourra découvrir le véritable mal.
2° Accusation – Elle doit revêtir deux qualités. 1° La franchise et la rondeur qui ne plaident pas à plaisir les circonstances atténuantes. 2° La franchise qui consiste à ne rien cacher, dût-on changer de confesseur lorsqu’on craint de tout dire au confesseur ordinaire.
3° Contrition – La contrition est de beaucoup plus importante selon St Ligori que l’accusation, parce que le péché accusé ne disparaît pas entièrement. Peccatum meum contra me est semper. Il faut en avoir du regret et le ferme propos de ne plus le commettre. Pour cela prendre un péché en particulier.
4° Satisfaction – Il y en a trois: sacramentelle, médicinale, de précaution. La 1ère est la légère pénitence imposée par le confesseur. La 2e consiste à nous mortifier par rapport aux péchés auxquels nous nous laissons plus volontiers entraîner. Cette pénitence est toujours nécessaire pour nous d’abord et ensuite pour ceux que nous avons pu par nos mauvais exemples faire succomber au péché.
IV. Parabole de l’Enfant prodigue. [rien de plus sur ce sujet].