- T2-261
- 854
- Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.261
- Orig.ms. ACR, AD 77; D'A., T.D. 22, n. 445, p.94.
- 1 COLLEGE DE NIMES
1 MALADIES
1 SANTE
2 BERTHOMIEU, JOSEPH-AUGUSTIN
2 CABRIERES, ANATOLE DE
2 CHABOT, JEANNE DE
2 DELABREQUE, LOUIS-ALPHONSE
2 DEVES, JUSTIN
2 DUFETRE, DOMINIQUE
2 LA BOUILLERIE, FRANCOIS DE
2 O'NEILL, THERESE-EMMANUEL
2 SAUGRAIN, HIPPOLYTE
3 CARCASSONNE
3 MONTPELLIER
3 PARIS - A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
- MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
- 16 juin [18]57.
- 16 jun 1857
- Lamalou,
Je suis tout heureux, ma chère fille, de la nouvelle que vous me donnez sur Soeur T[hérèse]-Em[manuel]. Espérons que le bon Dieu nous la laissera, tant que nous en aurons besoin.
Encore rien de Montpellier. Si M. Devès a parlé à M. de C[abrières], c’est parce qu’on m’avait dit un non si positif que je le chargeai de dire un mot au Fr. Hippolyte; il a étendu la commission à l’abbé de C[abrières].
Je viens de passer vingt-quatre [heures] très pénibles pour mes nerfs, aussi je vous demande la permission de m’arrêter. Je suis bien aise de savoir que Mgr de la Bouillerie est à Paris. Je voulais le voir en passant par Carcassonne, je ne m’y arrêterai pas. Faut-il faire attendre indéfiniment ma réponse à Jeanne de Chabot? Puisqu’elle a quelqu’un, pourquoi la voir et m’en occuper encore?
Adieu, ma chère fille. Tout vôtre. Je ne sais si votre lettre à M. Berth[omieu] aura un bon résultat, mais enfin il aura toujours celui de me montrer votre bon vouloir pour un désir, auquel j’ai peut-être tort de tenir trop.
E. D’ALZON.
Je crois qu’il vaut mieux ne pas répondre à M. Delabrèque(1).
E.D'ALZON