- T2-256
- 848
- Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.256
- Orig.ms. ACR, AD 76; D'A., T.D. 22, n. 443, pp. 91-92.
- 1 COLLEGE DE NIMES
1 CREANCES A PAYER
1 MOBILIER
1 MORT
1 RETRAITE SPIRITUELLE
1 SANTE
2 BERTHOMIEU, JOSEPH-AUGUSTIN
2 COMBIE, JULIETTE
2 DEVES, JUSTIN
2 FABRE, JOSEPH
2 FABRE, JOSEPHINE
2 O'NEILL, THERESE-EMMANUEL
2 PUYSEGUR, MADAME ANATOLE DE
2 VARIN d'AINVELLE, J.-B.-FELIX
2 VARIN D'AINVELLE, MADAME J.-B.-FELIX
3 LAMALOU-LES-BAINS
3 LAVAGNAC
3 MONTPELLIER
3 NIMES
3 SERVAS - A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
- MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
- 12 juin [18]57.
- 12 jun 1857
- Lamalou,
Ma chère fille,
Je m’unis du fond du coeur à toutes les angoisses que vous cause la santé de Soeur T[hérèse]-Em[manuel], et je continue à bien prier pour elle.
Mme de Puységur n’écrit ni à Montpellier, ni à Lamalou, et c’est elle qui doit dire le dernier mot. Peut-être pourrai-je le faire dire par Joséphine(1); car, voyez un peu, on a remboursé à son père les 10.000 francs, dont il n’avait pas besoin. Pourquoi payer des gens qui ne le demandent pas, pour élever ensuite des obstacles au sujet de la même somme à une conclusion d’affaires si convenable?
Retardez vos jours de retraite, puisque votre pauvre Soeur T[hérèse]- Em[manuel] vous réclame.
J’apprends la mort de M. Varin(2). Je veux écrire à sa pauvre femme, et c’est pour cela que je veux être court avec vous, aujourd’hui. Demain, je serai plus long et je vous parlerai plus à l’aise de Notre-Seigneur.
Je vous remercie d’avoir écrit à M. Berth[omieu] au sujet du mobilier. J’avais répondu assez rudement à M. Devès, quand il était venu me le proposer.
Je n’ai aucune nouvelle de Nîmes, sauf de Juliette et de Joséphine. Je n’irai probablement à Lavagnac que si l’affaire s’arrange.
Adieu, ma chère fille. Demandez à Notre-Seigneur qu’en tout ceci je ne suivre que son esprit et pas le mien.
E. D'ALZON.2. A Servas, près d'Alès, le 5 juin 1857.