- T2-170
- 766
- Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.170
- Orig.ms. ACR, AD 101; D'A., T.D., 22, n. 473, p. 125.
- 1 DISCOURS DE DISTRIBUTION DES PRIX
1 PENSIONNATS
2 CABRIERES, ANATOLE DE
2 VAILHE, SIMEON - A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
- MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
- vers le 23 décembre 1856](1).
- 23 dec 1856
- [Paris,
Ma chère fille,
Je crois que l’on doit rendre la literie, puisqu’il n’y a pas un an que l’enfant était chez vous. C’est du moins notre usage à nous. Quelquefois, les parents ont désiré qu’elle nous restât pour les pauvres(2).
Je vous envoie le mémoire de M. de Cabrières; il ne dit pas tout évidemment. Enfin, il faut prendre les gens comme ils sont(3).
Je suis très heureux de vous faire du bien. J’ai la foi* d’en venir à bout.
Adieu, ma fille. Tout à vous en Notre-Seigneur.
E. D'ALZON.1. Nous croyons devoir préciser la date avancée par le P. Vailhé: [? 1857]; car cette lettre répond à une demande précise formulée par Mère M.-Eugénie dans sa lettre cotée *2594 bis*.1. Nous croyons devoir préciser la date avancée par le P. Vailhé: [? 1857]; car cette lettre répond à une demande précise formulée par Mère M.-Eugénie dans sa lettre cotée *2594 bis*.
2. Mère M.-Eugénie demandait au P. d'Alzon "si l'on devait après un malheur comme celui qui nous a frappées [la mort d'une élève], rendre la somme donnée en entrant pour le lit de l'enfant. Elle était entrée il y a trois mois seulement. Je désire faire tout ce qui est convenable et éviter toute explication à la famille".
3. Peut-être le discours des prix de 1856, prononcé par l'abbé de Cabrières, après son impression.
2. Mère M.-Eugénie demandait au P. d'Alzon "si l'on devait après un malheur comme celui qui nous a frappées [la mort d'une élève], rendre la somme donnée en entrant pour le lit de l'enfant. Elle était entrée il y a trois mois seulement. Je désire faire tout ce qui est convenable et éviter toute explication à la famille".
3. Peut-être le discours des prix de 1856, prononcé par l'abbé de Cabrières, après son impression.