- T2-155
- 750
- Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.155
- Orig.ms. ACR, AD 57; D'A., T.D. 22, n. 432, p. 72.
- 1 ASSOMPTIONNISTES
1 PENSIONNATS
1 PRIEURE DE NIMES
1 VOCATION RELIGIEUSE
2 CABRIERES, ANATOLE DE
2 CABRIERES, FRANCOIS-LOUIS DE
2 MERMILLOD, GASPARD
2 VAILHE, SIMEON
3 GENEVE - A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
- MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
- vers le 13 novembre 1856].(1)
- 13 nov 1856
- [Nîmes,
Ma chère fille,
J’ai oublié de vous dire que M. de Cabrières, en me venant, désire qu’on ne parle pas de son projet de se faire religieux, à cause de son père. Ainsi, n’en parlez pas encore.(2)
Adieu, et toujours merci d’avoir contribué à me le faire venir.
E. D’ALZON.
Pour notre Mère.
E.D'ALZON1. Nous croyons devoir préciser la date proposée par le P. Vailhé: *vers le 15 novembre 1856*, car Mère M.-Eugénie répond à ce mot, comme à la lettre précédente, le même jour de Paris, le 15 novembre.
2. Le 15 novembre, Mère M.-Eugénie écrit: "Je ne puis vous dire, mon cher Père, la joie que me causa la nouvelle que vous me donnez ce matin. D'après le second petit mot que je reçois en même temps de vous, je ne sais si je puis en parler même à nos Soeurs. Puis-je lui dire à lui la joie que j'éprouve de le savoir enfin nôtre?"
Dans cette même lettre, sachant que le P. d'Alzon va se rendre à Genève, la Mère lui révèle que l'abbé Mermillod lui avait parlé "de son désir d'avoir à Genève une maison de religieuses pour l'adoration, et nous lui avons demandé de nous prendre, écrit-elle. Cette maison resterait contemplative et ce serait notre second noviciat, maintenant que la maison de Nîmes devient un pensionnat. Parlez de cela avec lui, sachez s'il le croit possible et par *quels moyens*; c'est une chose que tout le monde ici désire vivement."
2. Le 15 novembre, Mère M.-Eugénie écrit: "Je ne puis vous dire, mon cher Père, la joie que me causa la nouvelle que vous me donnez ce matin. D'après le second petit mot que je reçois en même temps de vous, je ne sais si je puis en parler même à nos Soeurs. Puis-je lui dire à lui la joie que j'éprouve de le savoir enfin nôtre?"
Dans cette même lettre, sachant que le P. d'Alzon va se rendre à Genève, la Mère lui révèle que l'abbé Mermillod lui avait parlé "de son désir d'avoir à Genève une maison de religieuses pour l'adoration, et nous lui avons demandé de nous prendre, écrit-elle. Cette maison resterait contemplative et ce serait notre second noviciat, maintenant que la maison de Nîmes devient un pensionnat. Parlez de cela avec lui, sachez s'il le croit possible et par *quels moyens*; c'est une chose que tout le monde ici désire vivement."