- T1-563
- 522
- Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.563
- Orig. ms. ACR, AD 1115; D'A., T.D. 21, n. 311, p. 175.
- 1 APOSTOLICITE
1 EMPLOI DU TEMPS
1 HANDICAPS
1 PREMIERE COMMUNION
1 VIE DE PRIERE
2 BEILING, ADOLPHE
2 BEILING, MARIE-LOUISE
2 DU LAC, JEAN-MELCHIOR
2 GAUME, JEAN-JOSEPH
2 GAY, CHARLES-LOUIS
2 GOUSSET, THOMAS
2 NANQUETTE, JEAN-JACQUES
2 VENTURA, GIOACCHINO
3 NIMES, EVECHE
3 REIMS - A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
- MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
- le 8 juillet 1855].
- 8 jul 1855
- [Nîmes,
Je vous plains de votre tremblement nerveux[1]. J’en sais quelque chose par expérience. Dieu nous avertit par tous ces affaiblissements que notre poussière peut se décomposer. Il faut courber la tête et employer d’autant mieux le peu de temps qui nous reste. Le P. Ventura pousse toujours à Nîmes M. Gaume. Il me fait dire d’agir dans ce sens; je suis assez embarrassé. Comme vous ne m’avez pas dit le secret de l’archevêque de Reims, j’ignore ce qu’il faut faire[2]. Il me prend de furieuses envies de laisser faire et de me contenter de prier.
Nous avons eu ce matin une première communion. Je prie bien pour ma petite Soeur Marie-Louise[3]. Adieu, ma fille. Je suis un peu fatigué. Il me semble pourtant que ces quelques lignes ne vous déplaisent pas. Je voudrais que vous vissiez avec quelle plénitude de coeur je suis tout vôtre en Notre-Seigneur.
8 juillet 55.
E. D'ALZON.2. Mère M.-Eugénie écrit le 11 juillet: <>.
3. Soeur Marie-Louise Beiling. dont le frère avait été un temps novice de l'Assomption. La santé de cette religieuse inquiétait Mère M.-Eugénie.