- T1-492
- 453
- Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.492
- Orig.ms. ACR, AD 788; D'A., T.D. 21, n. 45, p. 34.|Cop.ms. ACR, AD 997; D'A., T.D. 21, n. 293, p. 167.|Ainsi cette lettre non datée a été transcrite deux fois.
- 1 ADORATION
1 ANEANTISSEMENT
1 OBLATES
1 PRATIQUE DE L'OBEISSANCE
1 RETRAITE DES RELIGIEUX
1 UNION DES COEURS
2 VAILHE, SIMEON - A LA R. MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
- MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
- le 16 novembre 1854]. vers
- 16 nov 1854
- [Nîmes,
Ma chère fille,
Je voudrais vous écrire longuement et je crois ne le pouvoir réellement pas. J’ai lu avec bien du bonheur vos deux lettres de retraite[2];je voulais vous les renvoyer, puis, à moins que vous en ayez besoin, je préfère les garder. Mais il me semble que nous nous rencontrons enfin dans une identité de dispositions: adorer, obéir, s’anéantir. Je garde ces trois mots comme notre reconnaissance, cette année. J’accepte surtout l’anéantissement; du moins il me le semble. Tenez-vous-en là, et moi aussi.
Adieu, ma fille.
Je dis à Notre-Seigneur pour vous tout ce que je ne vous dis pas. Je ne crois pas avoir besoin tout de suite de l’Oblate, mais sous peu ce sera différent. Adieu et tout vôtre. Donnez-moi des détails sur l’Oblate[3].
E. D'ALZON.2. Lettres des 9 et 12 novembre 1854. - Dans sa lettre du 12. Mère M.-Eugénie écrivait: <>. C'est ce passage qui a retenu l'attention du P. d'Alzon et il y revient dans sa lettre du 22 novembre. Avant même d'avoir reçu cette seconde lettre, Mère M.-Eugénie lui écrit le 23:<>.
3. L'Oblate, venue à Chaillot, mais pour Clichy, dont lui avait parlé Mère M.-Eugénie dans sa lettre du 12 novembre.