- T1-327
- 297
- Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.327
- Orig.ms. ACR, AN 155; D'A., T.D. 39, n. 9, p. 77.
- 1 COLLEGE DE CLICHY
1 PUBLICATIONS
2 BAILLY, EMMANUEL
2 BAILLY, VINCENT DE PAUL
2 LAURENT, CHARLES
2 MILLERET, MARIE-EUGENIE
3 CLICHY-LA-GARENNE
3 NIMES
3 PARIS - A MONSIEUR EMMANUEL BAILLY
- BAILLY_MONSIEUR
- le] 9 sept[embre 18]53.
- 9 sep 1853
- [Nîmes,
Mon cher ami,
Je crois que mes regrets de me séparer de votre fils ont été encore plus vifs que les siens[1].
Ici, tout le monde l’aimait et lui conserve le meilleur souvenir. Que je voudrais qu’il pût nous revenir un jour comme directeur ou autrement.
Merci de votre article sur notre maison de Paris. Prônez-la un peu; vous aussi, vous y êtes intéressé[2]. Vous ne me parlez pas de votre Benjamin? Comment va-t-il? Quant à Vincent de Paul, il a certainement un bel avenir. Quoique vous en disiez, tout ne sera pas épreuves pour vous. Du reste, qui n’en a pas quelques-unes?
Adieu, bien cher ami. Excusez-moi auprès de votre fils, si je ne lui écris pas sur-le-champ; il sait mes occupations et ne m’en voudra pas.
Tout à vous du fond d’un coeur bien dévoué.
E. D'ALZON.2. A cause de la présence de Benjamin, comme élève. A propos de Clichy, Mère M.-Eugénie, de retour à Paris, écrivait au P. d'Alzon le 3 septembre: <>.