- T1-182
- 164
- Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.182
- Orig.ms. ACR AD 833; D'A., T.D. 21, n. 90, p. 59.
- 1 COLLEGE DE NIMES
1 FONDATEUR
1 INTERETS DU CAPITAL
1 QUERELLE DES AUTEURS CLASSIQUES
1 SOEURS CONVERSES
2 FEVAL, MARIE-AIMEE
2 HENRI, EUGENE-LOUIS
2 TESSAN, JEAN-CHARLES DE
2 YZALGUIER, M.-DOMINIQUE-EUGENE D'
3 PARIS - A LA R. MARIE-EUGENIE DE JESUS
- MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
- 24 juin au soir [1852].
- 24 jun 1852
- [Nîmes],
Avant de me coucher que je vous dise trois choses et une quatrième.
1° Voici la note de M. Henri. Il y a une réforme à y faire: il porte la cessation des intérêts à payer par vous à partir du jour où il a reçu les sommes, et il faut partir du jour où vous me les avez remises, quand j’étais à Paris.
2° J’aurai une très bonne converse. La voulez-vous?
3° C’est avec l’abbé de Tessan que Soeur Marie-Aimée ferait ses affaires; mais n’ayez pas peur, il se passera des années avant qu’elle n’exécute son projet. Je crois que nous ne serions pas prêts, au mois d’octobre; pourtant c’est possible, si j’ai ici plus de prêtres qui puissent vous servir d’aumôniers et que je n’aie rien à lui demander.
La quatrième chose est que les Jésuites nous démolissent tant qu’ils peuvent. Il faut absolument que nous tenions ferme. Ce serait trop long à vous conter, mais tous les ressorts jouent[1].
Adieu. Priez pour moi.
E. D'ALZON.