Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.65

• T1-065
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• Touveneraud, LETTRES, Tome 1, p.65
• Orig.ms. ACR, AN 8; D'A., T.D. 38, n. 8, p. 114.

• 1 ECOLES
  1 EDUCATION EN FAMILLE
  1 EDUCATION RELIGIEUSE
  2 ALEYRAC, MADAME D'
  2 CHAZELLES, E. DE
  2 CHAZELLES, MADAME DE
  2 COURTOIS, FAMILLE DE
  2 COURTOIS, MADAME RAYMOND DE
  2 LEGAY, MADEMOISELLE
  2 PENNAUTIER, MADAME PAUL DE
  2 SAINT-PREGNON, MADAME DE
  3 MONTPELLIER
• A MADEMOISELLE AMELIE DE PELISSIER
• ESCURES Comtesse
• le[ 12 août] 185[1].
• 12 aug 1851
• Nîmes,
• Evêché de Nîmes
• Mademoiselle
  Mademoiselle de Pélissier
  94, rue de Chaillot
  Paris.

Ma chère fille, deux mots seulement. Mme d’Aleyrac, qui m’a conjuré de l’aider à faire mettre Blanche auprès de vous, ecrit: 1° que Mme votre soeur ne pourra faire, pour sa fille, les frais d’une gouvernante; 2° que Mme de Chazelles, la mère, cherchera à faire mettre sa petite-fille au Sacré-Coeur de Montpellier, mais que, plutôt que de la laisser dans la famille de Courtois, elle fera les frais de l’éducation de cette enfant à l’Assomption. Il paraît que Mme d’Aleyrac tient énormément à écarter Blanche du Midi. Il paraît que Mme de S[ain]t-Prégnon aurait reçu de son frère, à son lit de mort, les instances les plus vives de ne pas laisser Mlle Blanche auprès de sa grand- mère. Quant à Mlle Legay, il paraît que son influence est détruite par l’opposition de la grand-mère[2].

J’écris comme un chat, mais voilà bien des choses et des renseignements. Concluez. A bientôt.