- DR12_224
- 6063
- DERAEDT, Lettres, vol.12 p. 224
- Orig.ms. ACR, AD 270; D'A., T.D.24, n.1222, p.250.
- 1 AMITIE
1 ANCIENS ELEVES
1 BONTE MORALE
1 COLLEGE DE NIMES
1 CONTRARIETES
1 DOULEUR
1 EVEQUE
1 PATERNITE SPIRITUELLE
1 PRIERES POUR LES DEFUNTS
1 PRIEURE DE NIMES
2 BESSON, MARIE-IRENEE
2 MILLERET, LOUIS
2 MILLERET, MARIE-EUGENIE
3 NIMES
3 NIMES, EGLISE SAINT-BAUDILE - A SOEUR MARIE-GABRIELLE DE COURCY
- COURCY Marie-Gabrielle ra
- [Nîmes, vers le 29 octobre 1877](1).
- 29 oct 1877
- Nîmes
Ma fille,
Au milieu de mille dérangements d’évêques qui arrivent, d’anciens élèves à recevoir, mon coeur est auprès du vôtre dans la grande douleur que vous éprouvez. Ah! que je voudrais être bon, père, ami, pour vous! Croyez que je prie bien pour cette âme si aimée de la vôtre.
E.D'ALZON.1. Les T.D., estimant sans doute que ce mot fut écrit à l'occasion du décès de Louis Milleret de Brou, frère de Mère Marie-Eugénie, le considèrent comme adressé à cette dernière et le datent de *Nîmes, vers le 23 décembre 1875*. Mais on ne signale aucun afflux d'évêques à Nîmes à ce moment. Par contre le 28 octobre 1877, eut lieu la consécration de l'église Saint-Baudile et de nombreux évêques y participèrent. A cette occasion, plusieurs d'entre eux vinrent à l'Assomption pour donner au P. d'Alzon et à son oeuvre "ce témoignage de haute estime" (L'*Assomption*, 1er novembre 1877). Ce mot de condoléances fut écrit à l'occasion du décès de Soeur Marie-Irénée, morte au prieuré de Nîmes au soir du 29 octobre 1877, et adressé selon toute vraisemblance à la supérieure du prieuré, Mère Marie-Gabrielle.