- DR05_372
- 2590
- DERAEDT, Lettres, vol.5 , p. 372
- Orig.ms. ACR, AG 125; D'A., T.D. 27, n. 125, p. 103.
- 1 COLLEGE DE NIMES
1 ECONOMAT
1 EMPLOIS
1 MAITRES
2 BARDONNENCHE, MONSIEUR ET MADAME
2 GRANCOLAS, JOSEPH
2 JOURDAN, RAPHAEL
2 SAUGRAIN, HIPPOLYTE
2 VARIN D'AINVELLE, MADAME J.-B.-FELIX
2 VINCENT, ABBE - AU PERE VINCENT DE PAUL BAILLY
- BAILLY_VINCENT de Paul aa
- [Le Vigan, le 29 juillet 1865](1).
- 29 jul 1865
- Le Vigan
Impossible de dire ce qu’il y a de mieux. Faites ce que vous voudrez pour le départ de Grancolas. Vous voyez bien qu’il y a des choses, que je ne puis juger à distance. Le P. Raphaël est parti avec la mission de dire que le système adopté cette année serait soutenu l’an prochain. Il m’a promis d’en faire la confidence à ses confidents. Les Bard[onnenche] vont dire que je l’envoie pour les narguer et, franchement, à cause d’eux j’ai été sur le point de le retenir. Mais pourquoi s’arrêter pour des gens qui écrivent des lettres, comme la dernière que j’ai fait lire au P. Hippolyte(2)?
Si Madame Varin veut plus tard l’abbé Vincent, on attend ici les autres. Adieu, et tout vôtre.
E.D'ALZON.2. Le P. d'Alzon avait essayé de retenir les Bardonnenche qui avaient démissionné de leurs emplois au collège où Cyrille Bardonnenche avait exercé en dernier lieu la fonction d'économe pendant l'année 1864-1865 (v. *Lettre* 2580 et n. 2). "Votre bonne lettre aurait pu nous donner à réfléchir, avait répondu le 26 juillet Cyrille Bardonnenche, si notre détermination n'était que le résultat d'une boutade. [...] Notre bon vouloir est à bout. [...] A d'autres plus habiles que nous à contenter l'administration et à agir en tout et partout en son point de vue."