- DR05_115
- 2283
- DERAEDT, Lettres, vol.5 , p. 115
- Orig.ms. ACR, AE 183; D'A., T.D. 25, n. 183, p. 146.
- 1 CONFESSEUR
1 FETE DE L'ASSOMPTION
1 FRERES CONVERS ASSOMPTIONNISTES
1 NOVICIAT
1 RELIGIEUSES DE L'ASSOMPTION
1 SUPERIEUR DE COMMUNAUTE
1 VETURE RELIGIEUSE
2 BONNEFOY, BENJAMIN
2 PICARD, FRANCOIS
2 VERON, PAUL
3 SAVOIE
3 VIGAN, LE - AU PERE FRANCOIS PICARD
- PICARD François aa
- Le Vigan, 14 août [18]64.
- 14 aug 1864
- Le Vigan
Cher ami,
Tâchez de voir M. Véron au plus tôt; il me faut des détails(1). Préparez le Frère Benjamin à venir, qu’il prépare ses compatriotes(2). Vous n’avez pas besoin de tant de formalités pour la prise d’habit des Frères convers; c’est l’affaire des supérieurs locaux. Seulement, le noviciat ne compte que depuis la prise d’habit. Restez tranquille pour votre charge de confesseur(3).
Adieu, tout à vous. Bonne fête de l’Assomption!
E.D'ALZON.1. Le P. d'Alzon souhaite obtenir des renseignements au sujet d'un prêtre.
2. Les T.D. ont cru devoir corriger comme suit: *à venir [chez] ses compatriotes*. Sachant que le Fr. Benjamin s'est rendu en Savoie pour y recruter de futurs frères (v. *Lettre* 2255, note), il est facile de comprendre la phrase du P. d'Alzon: le P. d'Alzon songe à faire venir le Fr. Benjamin au Vigan pour l'aider à former ces futurs frères.
3. Le P. Picard se demandait si, conformément aux lois canoniques, qui prévoient un changement de confesseur tous les trois ans, il ne devait pas renoncer à la charge de confesseur des Religieuses de l'Assomption qu'il exerçait depuis sept ans (lettre du 11 août).
2. Les T.D. ont cru devoir corriger comme suit: *à venir [chez] ses compatriotes*. Sachant que le Fr. Benjamin s'est rendu en Savoie pour y recruter de futurs frères (v. *Lettre* 2255, note), il est facile de comprendre la phrase du P. d'Alzon: le P. d'Alzon songe à faire venir le Fr. Benjamin au Vigan pour l'aider à former ces futurs frères.
3. Le P. Picard se demandait si, conformément aux lois canoniques, qui prévoient un changement de confesseur tous les trois ans, il ne devait pas renoncer à la charge de confesseur des Religieuses de l'Assomption qu'il exerçait depuis sept ans (lettre du 11 août).