- Procès-verbaux du Comité catholique de Nîmes (1875-1876)
- Oeuvre des Conférences catholiques
Séance du 11 novembre 1875 - CC 6, pp. 92-93
- 11 nov 1875
- Nîmes
La séance est ouverte à 10 heures du matin, sous la présidence de M. le Conseiller Pansier, vice-président, en l’absence du R.P. d’Alzon, Président.
Sont présents: MM. le Chanoine Gareizo, le R.P. Emmanuel Bailly, l’abbé Martin, le T.Ch. Frère Samuel-Marie, le Conseiller Boissier, le Commandant Rousset-Pomaret, Germer-Durand, d’Everlange, Allemand, Bouet.
M. le Conseiller de Bressy a bien voulu prévenir de son absence le Comité.
Après la prière d’usage, lecture est donnée du procès-verbal de la dernière séance. Il est adopté.
La première question à l’ordre du jour concerne l’ouverture des Conférences. Les membres du Comité se promettent d’assister, s’ils le peuvent, à la séance d’inauguration, le mardi 16 novembre.
En l’absence du R.P. d’Alzon, M. le Vice-président prononcera quelques paroles en déclarant les Conférences ouvertes.
Il est reconnu que la qualité de membre étant personnelle, les membres ne peuvent se faire représenter.
Le registre des inscriptions sera envoyé aux établissements d’instruction secondaire catholique de Nîmes et à la Maison des Chers Frères, pour recevoir les signatures de MM. les Professeurs.
Il est admis que chaque conférencier pourra amener des amis ou des parents; le nombre doit être renfermé dans les limites d’une sage discrétion. – Les administrateurs auront le même droit à charge de prévenir le Conférencier.
Le concierge de la Maison de l’Assomption sera prié de surveiller les abords de la salle des Conférences et d’exiger les cartes. Une rétribution lui sera allouée.
Le R.P. d’Alzon ne pouvant faire sa conférence le vendredi 19 courant(1), M. Sanguinède sera prié de vouloir bien faire ce jour-là un cours de droit supplémentaire.
Quelques jeunes gens ayant demandé à suivre les cours de l’Oeuvre, pour se présenter ensuite devant les facultés catholiques, le R.P. d’Alzon sera prié, par l’intermédiaire du R.P. Emmanuel, de s’entendre avec le Comité de la Faculté catholique de droit, à Lyon, pour obtenir en faveur de ces messieurs des dispenses d’assiduité.
Après la prière d’usage, la séance est levée à onze heures.