Procès-verbaux du Tiers-Ordre des Hommes

18 nov 1856 Nîmes Tertiaires Hommes

L’accueil d’étrangers au T.O.nous obligerait à plus de tenue.

Informations générales
  • Procès-verbaux du Tiers-Ordre des Hommes
  • Cahier des procès-verbaux 1854-1857
    53. Séance du 18 novembre 1856
  • CE 8-15, p.95-96.
Informations détaillées
  • 1 ADMISSION AU TIERS-ORDRE
    1 AMITIE
    1 APOSTOLAT DES TERTIAIRES
    1 COLLEGE DE NIMES
    1 DISTINCTION
    1 EMBARRAS FINANCIERS
    1 TIERS-ORDRE DE L'ASSOMPTION
    1 TIERS-ORDRE MASCULIN
    2 ALLEMAND, LOUIS
    2 BARDONNENCHE, CYRILLE
    2 BARNOUIN, HENRI
    2 BEDOS, PHILIPPE
    2 BOUCHET, CASIMIR
    2 CABRIERES, ANATOLE DE
    2 DUPONT, JACQUES-AUGUSTE
    2 GERMER-DURAND, EUGENE
    2 RAYNOUARD, JOSEPH
    2 SAUVAGE, EUGENE-LOUIS
    2 TROTMAN, EDOUARD
    3 FERNEY-VOLTAIRE
    3 GENEVE
    3 NIMES
    3 PARIS
  • Tertiaires de l'Assomption
  • Tertiaires Hommes
  • 18 novembre 1856
  • 18 nov 1856
  • Nîmes
  • Collège de l'Assomption
La lettre

Séance du 18 nov[embre 1856]

Présidence du P. d’Alzon.

Présents: MM. Durand – Sauvage – Trotman – Bardonnenche – Dupont – Raynouard – Bouchet – Bedos – Allemand.

Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté.

Le secrétaire présente le tableau du personnel.

Le Père propose l’abbé Barnouin pour zélateur. – Il sera nommé à l’une des prochaines réunions. – Le Père serait enchanté que quelques étrangers fissent partie de notre T. Ordre. Nous y serions par là obligés à plus de tenue. On nous juge par les apparences et le plus grand mérite arrive quelquefois à ne pas susciter de confiance, parce qu’il n’est pas accompagné de certaines dehors. La tenue et les petits efforts qu’elle impose sont de notre part une oeuvre de charité, c’est une prédication.

Le Père, avant de nous quitter(1), invite le bureau à aller passer de temps en temps quelques soirées chez M. de Cabrières.

Le président:|Le secr: L. Allemand.
Notes et post-scriptum
1. Le P. d'Alzon dut quitter Nîmes le même jour. Le lendemain en effet il était à Genève, d'où il devait se rendre à Ferney (v. *Lettre* 751). Il gagna ensuite Paris, et jusqu'en octobre 1857, il ne fit à Nîmes, dont la crise financière du collège le tenait éloigné, que quelques apparitions.