- DR04_101
- 1817
- DERAEDT, Lettres, vol.4 , p. 101
- Orig.ms. ACR, AE 321; D'A., T.D. 25, n. 321, p. 261.
- 1 SYMPATHIE
3 NIMES
3 SAINT-GERVASY - AU PERE FRANCOIS PICARD
- PICARD François aa
- [Nîmes, le 18 août 1862](1).
- 18 aug 1862
- Nîmes
Bien cher ami,
Je prends, vous le savez bien, la part la plus vive à tout ce qui vous touche. Nous prierons pour votre grand-père de tout notre coeur et pour les vôtres. Restez jusqu’à demain soir – je comprends cette nécessité -, et même attendez à mercredi matin, s’il le faut.
Tout vôtre du fond du coeur.
E.D'ALZON.1. Le P. Picard reçut le dernier soupir de son grand-père le 18 août 1862, à St-Gervasy. Le 18 août était un lundi et notre lettre a été écrite un lundi elle aussi. St-Gervasy n'étant pas éloigné de Nîmes, le P. d'Alzon a pu apprendre la nouvelle le jour-même. Le mercredi matin commençait à Nîmes la retraite des religieux.