Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.438

9 may 1858 Lamalou par Bédarieux, VARIN_MADAME

De Lamalou, il lui confirme une visite avant la fin de l’été. -Il sollicite ses prières et celles de sa fille pour quelques affaires qui intéressent l’avenir de l’Assomption.

Informations générales
  • T2-438
  • 1025
  • Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.438
  • Orig.ms. ACR, AP 60; D'A., T.D. 40, n. 9, pp. 184-185.
Informations détaillées
  • 1 ASSOCIATION DE L'ASSOMPTION
    1 CONGREGATION DES AUGUSTINS DE L'ASSOMPTION
    1 CURES D'EAUX
    1 EXTENSION DU REGNE DE JESUS-CHRIST
    1 GUERISON
    1 PRIERE DE DEMANDE
    2 VARIN D'AINVELLE, JEANNE-EMMANUEL
    3 ALES
    3 LAMALOU-LES-BAINS
    3 SERVAS
  • A MADAME VARIN D'AINVELLE
  • VARIN_MADAME
  • 9 mai [18]58.
  • 9 may 1858
  • Lamalou par Bédarieux,
La lettre

Que devenez-vous, Madame? Il y a un siècle que je n’ai de vos nouvelles. Permettez-moi d’en demander. Etes-vous encore à Alais? Etes-vous retournée à Servas? Pour moi, je suis à Lamalou, où je crois que les eaux me font un véritable bien. Je n’ai qu’un regret, c’est de n’y être pas venu deux ans plus tôt. Très certainement, en ce moment, je serais guéri. Je me propose de rester ici huit jours encore et j’espère bien que l’été ne se passera pas, sans que nous allions vous faire la visite que je me suis permis de vous annoncer.

Où en êtes-vous avec le bon Dieu? Je voudrais bien aussi savoir où en est Mlle Isaure. Vous voyez que ceci n’est qu’une lettre de questions. Toutefois, je vous demanderai vos prières les plus ferventes pour quelques affaires qui intéressent l’avenir de l’Assomption. Vous en faites partie et vous devez votre concours à tout ce qui touche, par cette petite Association, à l’extension du règne de Notre-Seigneur. Je demande aussi les bonnes prières de Mlle Isaure, qui, par sa mère au moins, en est bien, elle aussi, un peu.

Cette lettre ne sera pas plus longue, mais, si vous aviez à me parler de vous, soyez convaincue, Madame, que de Lamalou je vous répondrai courrier par courrier.

Veuillez agréer, Madame, l’hommage de mes sentiments les plus respectueusement dévoués.

E. D'ALZON.
Notes et post-scriptum