- T2-370
- 958
- Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.370
- Orig.ms. ACR, AE 31; D'A., T.D. 25, n. 32, p. 33.
- 1 DEPARTS DE RELIGIEUX
1 EXAMEN DES JEUNES PRETRES
1 INTEMPERIES
1 NEUVAINE DE MESSES
1 POSTULANTS ASSOMPTIONNISTES
1 REMEDES
1 VIE DE PRIERE
2 GOURAUD, HENRI
2 LEVY, MARIE-JOSEPH
2 MENARD, POSTULANT
2 ROUSSOT, DOMINICAIN - AU PERE FRANCOIS PICARD
- PICARD François aa
- 23 nov[embre 18]57.
- 23 nov 1857
- Nîmes,
Cher ami,
J’accepte M. Ménard. Je crois qu’on peut aussi accepter le Frère convers(1). Votre lettre au P. Roussot est parfaite et très chrétienne(2). Si vous voyez M. Gouraud, demandez-lui ce qu’il penserait de l’application de l’électricité à mes nerfs(3). Toutes les fois qu’un orage électrique passe dans le ciel, je suis en bouleversement.
Je fais faire neuvaines sur quarantaines pour obtenir des sujets. Je ne prie pas assez. Adieu.
E. D’ ALZON.
S’il faut attester que j’ai fait passer les examens, je suis prêt à le faire. Totus tibi et vobis in Christo Jesu.
E.D'ALZON1. Deux postulants qui venaient d'écrire au P. Picard. Seul, le premier se présenta au noviciat. 2. "Le P. Roussot, Dominicain m'a écrit pour me demander des renseignements sur le Fr.Marie-Joseph", écrivait le 21 novembre le P. Picard, qui ajoutait: "C'est de la moutarde après dîner" [...] Il est venu lundi 16 novembre avec le prieur des Carmes; ne m'ayant pas rencontré il m'a écrit une lettre que j'ai reçue jeudi [...] Je lui ai répondu hier [...] Cette démarche était, je crois, pour réparer le tort qu'ils avaient eu de recevoir le Frère Marie-Joseph sans vous écrire. J'ai fait comme si je ne comprenais pas, mais tout en répondant avec assez de simplicité, j'ai évité de juger l'acte de son départ". -Le 22 novembre, le P. Picard donne communication au P. d'Alzon de la lettre du P. Roussot et de sa réponse: "Je n'ai pas cru mauvais de laisser entrevoir qu'une fois le fait accompli, on ne pouvait pas s'exprimer avec la simplicité dont on aurait usé auparavant".
3. "Le docteur Gouraud ne pense pas, écrira le P. Picard le 14 décembre, que l'emploi de l'électricité puisse vous être utile; les soins, les ménagements et le repos sont les meilleurs remèdes que vous puissiez employer".
3. "Le docteur Gouraud ne pense pas, écrira le P. Picard le 14 décembre, que l'emploi de l'électricité puisse vous être utile; les soins, les ménagements et le repos sont les meilleurs remèdes que vous puissiez employer".