- T2-097
- 695
- Touveneraud, LETTRES, Tome 2, p.97
- Orig.ms. ACR, AM 254; D'A., T.D. 37, n. 6, p. 235.
- 1 AMITIE
1 BONTE
1 DOUCEUR
1 HUMILITE
1 PETITES PROTESTANTES
1 PRUDENCE
1 SANTE
1 SURVEILLANCE DES ELEVES
2 BARNOUIN, HENRI
2 COMBIE, FAMILLE
2 COMBIE, JULIETTE
2 GAREISO, JOSEPH
2 IMBERTON, HIPPOLYTE
2 ROCHER, MADAME ADRIEN DE - A MADEMOISELLE EULALIE DE REGIS
- REGIS Eulalie
- vers le 8 juin 1856].
- 8 jun 1856
- [Lamalou,
Ma chère fille,
Permettez-moi de vous prier encore une fois de vous charger de la surveillance des petites protestantes, au moins provisoirement. Dites à Soeur Thérèse-Juliette(1) que je vous donne cette charge jusqu’à nouvel ordre. Entendez-vous avec M. Barnouin, que je prie de vous seconder de son mieux. Si la personne proposée par Mme de Rocher veut venir à l’essai, rien de mieux; sinon, au mois d’août, nous aurons quelqu’un de très bien.
On m’a appris vos tribulations avec MM. Gar[eizo] et Imb[erton](2). Allez toujours. Soyez toujours aussi bonne et douce, mais ferme, avec les autres, et humble devant Dieu. Je prie pour vous et suis tout vôtre devant Notre-Seigneur avec le coeur le plus dévoué.
E. D’ALZON.
Je vais, dit-on, merveilleusement, parce que je souffre beaucoup d’une certaine manière. Entre nous, la famille Combié croit, sur l’avis du médecin, que Juliette doit se retirer. Je ne le pense pas, mais il faut arranger toutes choses pour le mieux. Je compte sur votre prudence, votre tact et votre affection pour Juliette.
Mademoiselle de Régis.
E.D'ALZON2. Prêtres de Nîmes.