- DR06_118
- 2850
- DERAEDT, Lettres, vol.6 , p. 118
- Orig.ms. ACR, AD 222; D'A., T.D. 23, n. 887, p. 217.
- 1 ASSOMPTION DE LA SAINTE VIERGE
1 RELATIONS DU PERE D'ALZON AVEC LES ASSOMPTIADES
1 RETRAITE SPIRITUELLE
1 VOLONTE DE DIEU
2 PETER, MARIE-MADELEINE DE
2 PICARD, FRANCOIS - A LA MERE MARIE-EUGENIE DE JESUS
- MILLERET Marie-Eugénie de Jésus Bhse
- Le Vigan, 13 août 1866.
- 13 aug 1866
- Le Vigan
Je ne crois pas, ma chère fille, que ce soit quitter ma retraite que d’écrire deux mots à une mourante, et je ne puis résister au désir de vous souhaiter de bonnes fêtes de l’Assomption. Je tiens surtout à vous dire que, les premiers jours de ma solitude, je m’étais trouvé je ne sais quel sentiment d’isolement, non par rapport à vous, mais par rapport à votre Congrégation. Mais je n’avais pas reçu le paquet que Soeur M.-Madeleine avait eu l’esprit de garder(1). Je ne sais si c’est la réaction de ce que j’y ai lu, ou l’effet même de la volonté très manifeste de Dieu, mais je tiens à vous dire que je me sens plus que jamais le serviteur de votre oeuvre(2).
Adieu. Je rentre dans ma coquille.
E.D'ALZON.2. Il corrige ce qu'il a dit au P. Picard le 6 août (*Lettre* 2847) à propos de ses sentiments vis-à-vis des Religieuses de l'Assomption.