- DR05_367
- 2582
- DERAEDT, Lettres, vol.5 , p. 367
- Orig.ms. ACR, AG 122; D'A., T.D. 27, n. 122, p. 102.
- 1 COLLEGE DE NIMES
1 COURS
1 FAMILLE
1 MATIERES SCOLAIRES
1 VACANCES
2 BARDONNENCHE, MONSIEUR ET MADAME
2 GERMER-DURAND, EUGENE
2 VINCENT, ABBE
3 VIGAN, LE - AU PERE VINCENT DE PAUL BAILLY
- BAILLY_VINCENT de Paul aa
- [Le Vigan, vers le 23 juillet 1865](1).
- 23 jul 1865
- Le Vigan
Cher ami,
Les enveloppes! Le coup de patte est parfait(2), je l’approuve des deux pieds, des deux mains, des deux yeux, des deux oreilles. Il faut se poser. Quid des Bard[onnenche]? Vous ne pensez pas à toutes les familles qui nous demandent un abbé(3). Envoyez l’abbé Vincent au Vigan, à moins que vous n’en ayez besoin. Tout à vous.
E.D'ALZON.Vous pouvez envoyer l'abbé Vincent de suite; je crois que je puis le colloquer, ou plutôt attendez une dépêche.1. Réponse à la lettre du 22 juillet du P. Bailly.
2. Le P. Bailly se proposait d'écrire dans le rapport sur toute l'année scolaire que, dans la deuxième division, "art et littérature sont en butte aux anathèmes de la science positive. La coquetterie y consiste dans le luxe *sans mesure* des répétitions de math. etc..." Mais, expliquait-il au P. d'Alzon, "M. Durand condamne cette coquetterie. Je voudrais n'enlever que *sans mesure*" et il demandait: "Faut-il supprimer ce coup de patte?"
3. Pour des cours particuliers pendant les vacances. Dans une lettre du 29 août, à propos de l'abbé Vincent, le P. Bailly parle de "sa chaire ici" (c'est-à-dire au collège) mais son nom ne figure pas dans le registre du personnel.
2. Le P. Bailly se proposait d'écrire dans le rapport sur toute l'année scolaire que, dans la deuxième division, "art et littérature sont en butte aux anathèmes de la science positive. La coquetterie y consiste dans le luxe *sans mesure* des répétitions de math. etc..." Mais, expliquait-il au P. d'Alzon, "M. Durand condamne cette coquetterie. Je voudrais n'enlever que *sans mesure*" et il demandait: "Faut-il supprimer ce coup de patte?"
3. Pour des cours particuliers pendant les vacances. Dans une lettre du 29 août, à propos de l'abbé Vincent, le P. Bailly parle de "sa chaire ici" (c'est-à-dire au collège) mais son nom ne figure pas dans le registre du personnel.