DERAEDT, Lettres, vol. 3, p.247

15 jun 1860 Nîmes ROCHER_MADAME

Reproches pour ne pas lui avoir parlé de sa retraite. – La santé de Thérèse n’inquiète pas la supérieure. – La santé de sa soeur aînée se dégrade de jour en jour.

Informations générales
  • DR03_247
  • 1395
  • DERAEDT, Lettres, vol. 3, p.247
  • Orig.ms. ACR, AL 206; D'A., T.D. 34, n. 39, pp. 307-308.
Informations détaillées
  • 1 ADORATRICES DU SAINT-SACREMENT
    1 LUTTE CONTRE LE MONDE
    1 MALADES
    1 SANTE
    2 ALZON, AUGUSTINE D'
    2 MERIGNARGUES, ISABELLE DE
    2 MERIGNARGUES, MADAME DE
    2 ROCHER, THERESE-AUGUSTINE DE
    3 BOLLENE
  • A Madame de Rocher
  • ROCHER_MADAME
  • Nîmes, le 15 juin 1860.
  • 15 jun 1860
  • Nîmes
  • Evêché de Nîmes
  • *Madame de Rocher*.
La lettre

Savez-vous, ma chère fille, que j’ai envie de me fâcher? Ne pas m’écrire si la retraite vous a un peu tuée, mais c’est fort mal. Je compte que vous allez me réparer tout cela. Que devient Thérèse? La supérieure, à qui j’ai écrit sur sa santé, n’en est pas inquiète. Isabelle(1) a fait sa retraite, a été reçue adoratrice, a pris l’habit qui lui allait fort bien, et est encore mille fois mieux de ce que je l’ai obligée à faire ce que le bon Dieu lui demandait.

Priez pour ma soeur aînée. J’ai les plus grandes inquiétudes sur elle, le mal gagne tous les jours. Mille choses à vos filles. Nous sommes dans les premières communions, dans les processions, et je n’ai pas le silence de Bollène.

Tout vôtre, ma chère cousine, avec un tendre attachement.

E.D'ALZON.
Notes et post-scriptum
Mme de Mérignargues va assez bien.1. Isabelle de Mérignargues.