- DR03_028
- 1191
- DERAEDT, Lettres, vol. 3, p.28
- Orig.ms. ACR, AE 73; D'A., T.D. 25, n. 74, p. 65.
- 1 ENSEIGNEMENT DE LA PATROLOGIE
2 COMBIE, MAURICE
2 DURAZZO, MADAME
2 MIGNE, JACQUES-PAUL
2 SAUGRAIN, HIPPOLYTE
3 AUTEUIL
3 CLICHY-LA-GARENNE
3 NIMES
3 PARIS - Au Père François Picard
- PICARD François aa
- Nîmes, le 1er février 1859.
- 1 feb 1859
- Nîmes
- Evêché de Nîmes
Cher ami,
Un seul mot. J’ai reçu votre lettre. Je serai à Paris de jeudi en huit(1), le matin.
Cherchez-moi toujours des professeurs.
Pourquoi n’avez-vous pas remis à Combié et à Mme Durazzo des livres de la Patrologie(2), comme je vous en avais conjuré? Ce n’est pas bien. Mme Durazzo vous avait dit que sa malle était vide, à ce qu’elle m’a assuré.
Adieu. A huit jours.
Le P. Hippolyte est réclamé ici par tout le monde(3).
E.D'ALZON.1. Le jeudi, 10 février.
2. La Patrologie de Migne (en cours de parution pour les Pères grecs) avait été envoyée de Nîmes à Paris pour le noviciat. Le P. d'Alzon l'avait réclamée à l'occasion du transfert du noviciat de Paris à Nîmes.
3. Le 28 janvier, le P. Picard écrivait: "Nous vivons tranquillement avec le P. Hippolyte, faisant régulièrement notre petite instruction du dimanche [aux enfants d'Auteuil] . Depuis quinze jours, le P. Hippolyte paraît avoir retrouvé son entrain et sa gaieté [...] Nous vous attendons avec impatience[...] Clichy est l'objet des constantes préoccupations de vos enfants. P. Hippolyte a examiné hier les comptes trimestriels."
2. La Patrologie de Migne (en cours de parution pour les Pères grecs) avait été envoyée de Nîmes à Paris pour le noviciat. Le P. d'Alzon l'avait réclamée à l'occasion du transfert du noviciat de Paris à Nîmes.
3. Le 28 janvier, le P. Picard écrivait: "Nous vivons tranquillement avec le P. Hippolyte, faisant régulièrement notre petite instruction du dimanche [aux enfants d'Auteuil] . Depuis quinze jours, le P. Hippolyte paraît avoir retrouvé son entrain et sa gaieté [...] Nous vous attendons avec impatience[...] Clichy est l'objet des constantes préoccupations de vos enfants. P. Hippolyte a examiné hier les comptes trimestriels."