CONSTITUTIONS DE L’INSTITUT DES AUGUSTINS DE NOTRE-DAME DE L’ASSOMPTION – Sage et Touveneraud, PREMIERES CONSTITUTIONS 1855-1865

Informations générales
  • PC-214
  • CONSTITUTIONS DE L'INSTITUT DES AUGUSTINS DE NOTRE-DAME DE L'ASSOMPTION
  • Livre Second -- ORGANISATION DE LA SOCIETE
    Chapitre 3ème DU SUPERIEUR GENERAL
  • Sage et Touveneraud, PREMIERES CONSTITUTIONS 1855-1865
Informations détaillées
  • 1 ADMISSION AUX VOEUX
    1 ASSISTANTS GENERAUX ASSOMPTIONNISTES
    1 CHAPITRE GENERAL DES ASSOMPTIONNISTES
    1 CONSTITUTIONS DES ASSOMPTIONNISTES
    1 ERECTION DE MAISON
    1 FIDELITE A L'ESPRIT DE LA REGLE
    1 FINANCE
    1 GESTION DES BIENS
    1 MAITRE DES NOVICES ASSOMPTIONNISTE
    1 PUBLICATIONS
    1 REGLE DE SAINT AUGUSTIN A L'ASSOMPTION
    1 REGLEMENTS
    1 SUPERIEUR GENERAL DES ASSOMPTIONNISTES
    1 SUPERIEUR PROVINCIAL
    1 SUPERIEURS ASSOMPTIONNISTES
  • 1863
La lettre

Toute l’autorité de la Congrégation réside dans le Supérieur général; il reçoit les voeux de ceux qui sont appelés à la profession. Il nomme à tous les offices, sauf à déléguer ce droit, pour les collèges et autres maisons, aux Provinciaux ou aux Supérieurs locaux. C’est à lui qu’à leur profession, les religieux promettent obéissance.

Il visite les maisons par lui-même ou par ceux qu’il nomme à cet effet; il réforme les abus; il approuve ou modifie les règlements locaux; apporte partout, en un mot, les améliorations qu’il juge convenables selon l’esprit de la Règle.

Il pourvoit à tous les règlements que la Règle comporte, par des circulaires qui servent de base aux délibérations des Chapitres généraux suivants.

Il fonde les maisons, mais ne peut les supprimer qu’avec l’autorisation du C onseil.

Il peut transférer les religieux d’une maison à l’autre; c’est à lui qu’on doit avoir recours dans toutes les circonstances où il s’agit d’une bonne oeuvre difficile ou d’une certaine importance.

Il nomme les Maîtres des novices et les révoque à son gré.

Les affaires temporelles de la Société sont traitées en son nom, à moins que, pour de très graves raisons, il ne croie devoir les faire traiter sous le nom d’un autre religieux.

Aucun livre ne doit être imprimé par un membre de la Société sans son autorisation.

Il transmet de son autorité ce qu’il juge à propos aux religieux auxquels il croit devoir confier une mission temporaire ou une charge.

S’il tombe malade, il peut déléguer un de ses quatre Assistants pour gouverner la Société.

Notes et post-scriptum