- PC-089
- CONSTITUTIONS DE 1855
- Livre Second -- ORGANISATION DE LA SOCIETE
Chapitre 6ème DES SUPERIEURS PARTICULIERS - Sage et Touveneraud, PREMIERES CONSTITUTIONS 1855-1865
- 1 CONSTITUTIONS DES ASSOMPTIONNISTES
1 ECONOMAT
1 FIDELITE A L'ESPRIT DE LA REGLE
1 OEUVRES CARITATIVES
1 PROVINCIAL ASSOMPTIONNISTE
1 RAPPORT SUR LA SITUATION DE L'ECONOMAT
1 SUPERIEUR GENERAL DES ASSOMPTIONNISTES
1 SUPERIEURS ASSOMPTIONNISTES - 1855
[1] Les Supérieurs particuliers ont le droit de gouverner leurs maisons respectives selon la Règle et les pouvoirs que leur a donnés le Supérieur général. C’est dans cette limite qu’ils ont la responsabilité des âmes qui leur sont confiées.
[2] C’est pour eux une obligation très rigoureuse de maintenir la Règle dans sa rigueur, et c’est pourquoi ils doivent exiger une grande obéissance de ceux qui dépendent d’eux, en même temps qu’ils doivent s’en faire aimer, afin de les conduire plus par la douceur que par la crainte.
[3] Trois fois par an, chaque Supérieur doit envoyer au Supérieur général un rapport sur l’état général de la maison, sur la situation de l’économat, sur les oeuvres entreprises et sur le personnel des religieux.
[4] Toutes les fois qu’une bonne oeuvre nouvelle sera proposée, si elle a quelque importance, il prendra l’avis du Supérieur général ou du Provincial.
[5] Le Supérieur de chaque maison particulière peut avoir sous lui un Econome; mais celui-ci doit être entièrement sous sa dépendance, à moins que, pour des raisons de prudence, le Supérieur général n’ait cru devoir lui-même le nommer. Dans ce cas, la responsabilité du Supérieur est entièrement dégagée au point de vue des affaires temporelles.
[6] Des règlements particuliers détermineront les devoirs des autres offices et l’esprit dans lequel ils doivent être remplis.